Recherche et archéologie

À ce jour, on peut encore deviner les constructions entreprises à la fin du XIIème siècle par Hughes de Noyers. Le château, de forme triangulaire, était naturellement défendu sur deux de ses côtés par des falaises abruptes tandis que son troisième côté qui faisait face à un très large plateau était protégé par trois fossés encore parfaitement visibles. Le plus septentrional et le plus vaste était bordé de cinq tours dont il reste encore quelques vestiges. Il y a plus d’un siècle, certaines d’entre elles ont fait l’objet de recherches archéologiques.

Les nôtres ont commencé au même endroit. Des recherches de documents auprès des Archives départementales de la Côte d’Or ont été menées afin d’avoir une meilleure connaissance sur le château. Avec l’accord de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) et en partenariat avec SMBS (Rempart Bourgogne), des fouilles ont été réalisées sur deux tours. Celle-ci ont livré des informations précieuses. En outre, après étude, leurs vestiges autorisent une restauration partielle. Cela permettra au château de sortir peu à peu de l’oubli.

Des prospections géophysiques électriques et électromagnétiques ont été réalisées sur l’ensemble du site afin de mettre en évidence les structures enfouies. Cela permettra d’orienter de manière scientifique les fouilles archéologiques futures.

  • Fouille près de la tour n°2
  • Squelette
  • Recherches en 2010
  • Pavement d’une canonnière 2011
  • Faience médiévale
  • Faience médiévale
  • Dégagement d’un mur en 2015
  • Morceau de charnière de livre
  • Pointe avec soie
  • Dégagement d’une muraille 2015
  • Recherches archéologiques au pied de la tour
  • Vue du site au Lydar
Recherches archéologiques